jeudi 25 juillet 2013

KIKO ESCORA




Kiko Escora. Philippin. Début de la quarantaine. Connu dans les milieux branchés. Vend cher, à ce que j'ai pu voir. Je ne savais rien de lui, je le découvre, et je suis fasciné. La sensualité, bien sûr, mais insolente, hors d'atteinte, contrariante. Une sensualité immensément égocentriste, fatalement solitaire, aveugle. J'aime beaucoup son travail, inutilement: c'est tout comme si Escora s’amusait de l'arrogance du désir. « Casse-toi, pauv' con », quelque chose du genre. Bref, j'aime beaucoup, c'est rageur, c'est baveux.




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